Wiki Fire Emblem
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Rang C[]

Syrene : Père Moulder, vous semblez épuisé. Nous exigeons beaucoup de vous ces derniers temps, n'est-ce-pas ?

Moulder : Ne vous inquiétez pas pour moi. C'est de vous, Syrene, que nous devrions nous inquiéter. Vous avez rejoint notre groupe lorsque nous avons quitté Frelia. J'imagine que ce doit être déroutant de ne voir aucun visage familier autour de soi.

Syrene : Je connais le nom ainsi que la spécialisation de chacun. Ne vous en faites pas pour moi.

Moulder : Impressionnant. Vous êtes très attentive.

Syrene : Pour pouvoir battre l'ennemi, il faut connaître ses alliés. Si vous ne connaissez pas les aptitudes de vos propres unités, vous perdrez toutes les batailles. Je ne veux pas mourir parce que j'ignorais ce que je pouvais attendre de mes troupes.

Moulder : J'avais peur que vous n'ayez quelques difficultés à  vous intégrer dans le groupe. On dirait que vous avez la situation bien en main. Je suis fier de vous, Syrene. Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à  venir me voir.

Syrene : Merci, père Moulder. J'apprécie votre prévenance.

Rang B[]

Moulder : Syrene, vous dites que vous savez déjà  tout sur notre premier groupe. Quelqu'un à  Frelia vous a-t-il donné tous les détails avant votre départ ?

Syrene : Non, mon père. Juste avant notre départ, le chaos s'installait à  Frelia. Tout ce que je sais, je l'ai appris sur le tas, pour ainsi dire. Les gens... se confient à  moi, et j'apprends en observant.

Moulder : Intéressant. Bien que vous soyez nouvelle, ils savent qu'ils peuvent se confier à  vous ?

Syrene : Oui. Les femmes semblent particulièrement à  l'aise avec moi.

Moulder : Je comprends. Même un homme du clergé reste un homme. Ça doit les rassurer de savoir qu'il y a une autre femme avec laquelle elles peuvent parler. Il y a plusieurs femmes dans le groupe. Si je ne peux pas être un « père » pour elles, je vous prie de bien vouloir les aider comme une « mère ».

Syrene : Avec tout le respect que je vous dois, mon père, je refuse de pourvoir à  leurs besoins telle qu'une mère le ferait. Je suis encore très jeune. Je préfère leur parler comme une « sœur ».

Moulder : Ah ah ah ah... oui, bien sûr. Veuillez m'excuser. Alors, aidez-les comme une sœur le ferait.

Syrene : Oui, mon père ! Est-ce que je peux vous dire un mot maintenant, en tant que sœur ?

Moulder : Je vous demande pardon ? Vous voulez... me parler ? Est-ce que quelqu'un s'est plaint de moi ?

Syrene : Eh bien, je vous le dirai le jour qui suivra la prochaine nouvelle lune.

Moulder : Dois-je vraiment attendre aussi longtemps ? La nouvelle est si terrible qu'il faut que je m'y prépare ?

Syrene : Calmez-vous, mon père ! Ce n'est qu'une suggestion, pas une critique.

Moulder : Hum... qu'est-ce que cela peut être ?

Rang A[]

Moulder : Hier... c'était la nouvelle lune. Ça veut dire que c'est aujourd'hui le grand jour. Je me suis cassé la tête à  essayer de deviner, Syrene. Quelle est cette suggestion ?

Syrene : Ah, en effet, mon père. C'est le grand jour. Eh bien, de la part de tout le monde, j'ai un message à  vous communiquer. Père Moulder  ?

Moulder : Oui ?

Syrene : Joyeux anniversaire !!!

Moulder : Quoi ? Mon anniversaire ? Oh... oh, oui ! C'est aujourd'hui mon anniversaire, n'est-ce-pas ? Mais...

Syrene : C'est une belle tradition de fêter les anniversaires, mon père. Dans une guerre, l'incertitude nous entoure à  chaque moment qui passe. Au lieu de nous inquiéter pour demain, célébrons la vie aujourd'hui. Cela nous incitera tous à  aller de l'avant, vous ne croyez pas ?

Moulder : Oui, en effet. Partager les joies de la vie est quelque chose de primordial. Merci, Syrene. Dans ce chaos, j'aurais oublié mon propre anniversaire.

Syrene : Vous êtes épuisé à  force de vouloir veiller sur les autres, et vous vous négligez complètement. Nous vous sommes infiniment reconnaissants pour tout ce que vous faites pour nous. Tant de gens sont venus me voir pour me demander comment ils pourraient vous témoigner leur gratitude. Vous êtes un grand homme de grande vertu et une source d'inspiration pour nous tous.

Moulder : Je suis très touché... A mon âge, je croyais ne plus jamais avoir de fête d'anniversaire. D'ailleurs, ça m'embarrasse...

Syrene : Souvenez-vous de prendre soin de vous, mon père. Et merci !

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